Uzestival de printemps 2025

Géré conduit par ses artistes mêmes œuvriers musi- ciens comédiennes techniciens en Cie Lubat d’Uzeste Musical, le Théâtre Amusicien l’Estaminet, c’est quoi c’est comment, à quoi ça joue, à quoi ça rime ?

C’est un élaboratoire public de recherche transartistique, où auditeurs/spectateurs et artistisans œuvriers pratiquent cultivent une « poétique de la relation » (Édouard Glissant) s’articulant au cœur d’enchantiers de création poïélitique où il s’agit avec humour et non sans courage d’apprendre à s’y confronter s’y jouer s’y inventer s’y jardiner s’y découvrir s’y perdre s’y retrouver d’ici ainsi rien de fini ni défini, com- mencement sans fin ! Passé présent avenir -rien de trépassé dépassé, que du dépensé- tout en contraction contrat-diction conversation improvision.

D’ici d’en, ni croyance rance, ni illusion d’optique… de la pra- tique écrite orale improvisée interprétée… peu importe… de la vie à vivre qui transporte… qui emporte…

Jubilante responsabilité d’apprendre à aller voir en soi… là- bas s’y on y est… en profondeur.

Esthétique de résistance poïélitique à la désinformation té- léguidée radio-active lascive, cette démagogie participative lessive inclusive explosive !

En ces temps d’avant-guerre en guerre, rester d’avant les gardes sur ses gardes, garde à vous, garde à vue repos !

Partager ce patrimoine immatériel qu’est la création artistique dans sa singularité d’expression… tradition vieille comme le monde… « sortir de la terrible ignorance dans laquelle nous sommes les uns des autres ».

Foutons-nous la paix… pas la guerre !

B. Lubat

Adhésions 2025

Uzeste Musical

Association qui s’engage depuis 47 ans dans un processus émancipateur et innovant

° en œuvrant, au niveau individuel et collectif, à l’émergence d’expressions di- verses participant à la diversité culturelle

° en renforçant les capacités de chacun à se confronter à la culture de l’autre et à dialoguer avec lui

° en montrant comment un héritage culturel peut être un terreau actif de formes nouvelles d’expression musicales verbales textuelles visuelles gestuelles théâ- trales plastiques pyrotechniques….

° en proposant une initiation à la pratique artistique (stages, séjours et nuits mani- festives : Les Imagin’actions éduc’actives) et en s’impliquant dans le champ édu- catif en partenariat avec les écoles de musique du territoire et les conservatoires de musique de la région Aquitaine.

° en cultivant des perspectives nouvelles vis à vis des populations régionales : formations professionnelles aux métiers du spectacle, artistes techniciens (éclai- ragistes, sonorisateurs, backliners) et administratifs

Soutenir Uzeste Musical c’est se positionner clairement comme évaluateur de ce qui fait sens, pour vous, dans le paysage culturel et artistique contemporain et participe à la construction de votre représentation du monde.

Comme en chaque début d’année, nous vous adressons le bulletin d’adhésion, un moven de témoigner de l’intérêt que vous portez à notre proiet. à nos actions et de la valeur aue vous leur reconnais-sez. Vous avez la possibilité de compléter votre adhésion par un don (N’oubliez pas que vous pouvez vous faire rembourser par l’état 66% de son montant sous forme de crédit d’impôts).

Hestejada hivernale – du 26 au 31 décembre 2024

Manifestivité poïélitique d’occitanie océanique nouvelle,

la petite sœur hivernale de sa grande aînée estivale du mois d’août.

Imaginée, jazzconjuguée par ses œuvriers même

artistes techniciens d’ici d’en et d’à côté…

et organisée par l’association Uzeste Musical en Cie Lubat.

Entre sports d’hiver et chaleurs de l’été, la vie continue à la campagne… la nature change ses couleurs, désaxe ses lumières; les sons s’échappent d’eux-mêmes, les grues chantent dans le ciel, les palombes repassent toujours, et la vie d’ici n’en finit pas de commencer ; la ruralité ne s’en laisse pas compter, elle résiste aux illusions capitales, à ses nostalgies médiévales, invente ses solutions, analyse ses difficultés. Au sein des forces vives locales, plein cœur de la mêlée, la création artistique y joue son rôle de cultivatrice de cultures, productrice d’imaginaires, émettrice d’inventions, éleveuse de sons d’images et d’idées,

Pour en finir avec une année sombre,

retrouver le contre-temps des petites lumières..

Vite, vivre à vif à nous inventer encore et encore, tous ensemble, tous entre tous.

Uzestival Octobre 2024

Après les clameurs estivales de la 47e Hestejada de las arts, les œuvriers et œuvrières artistes et techniciens d’ici d’en Cie Lubat retrouvent leur élaboratoire « Théâtre amusicien l’Estaminet ».
Ils y poursuivent leurs travaux de recherche fondamentalement applicable : rêves éveillés en réalités mises à distance, énergies, trouvailles d’avant les gardes, normes, marques, réclames, nostalgies, marques, conformismes, modes, genres etc…
Pour elles et eux, il s’agit de se cultiver librement, tous ensemble, individuellement, vivants vibrants -et pas seulement de temps en temps- réflexes imagin’actifs instinctellectuels à l’œuvre, tout ce qui fait le suc de l’authenticité artistique engagée dans l’imaginaire, l’inventivité, la singularité, la particularité.
(B.Lubat)


47ème Hestejada de las arts

La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la pro-duction de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’audacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !

Expé’diction, explic’action export’action,

imagin’action improvision à l’œuvre…

Aucune ligne d’arrivée révélée-vendue/promise- à l’horizon.

Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans reproches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers énergétique uz’esthétique.

«Transformation du souci en souci de la transformation»

et non pas non plus (comme il se doit dans la musique) à vendre

« transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».

Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière. « Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».

Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.

Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.

Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et

chéquier », télé radio- actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres.

Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes.

Il faudrait, il faudra, il faut… !?


Uzestival de printemps 2024

Quand le ConVersatoire d’Uzeste,
cette école musicale du rythme et de l’improvisation, change la donne, bouge les lignes, invite à l’invention !

Qui que nous soyons, quoi que nous pensons croyons vivons… ne nous laissons pas simplifier,enrégimenter, marchandiser.

Il s’agit de vivre à vivre et non pas non plus… d’être obligé d’avoir à se vendre pour survivre !

Vite… un printemps d’idées vives en jeu, pourtant aujourd’hui encore, si mal entendues… impression de tant d’idées reçues déçues ?

D’ici d’en Cie Lubat d’uzestusant selfs’pliquant… collectif d’artistisans œuvriers
s’imaginant s’inventant
turbulants pionniers jouant

avenir au présent… passé inclus… tout l’temps tout en résistance au désordre établi
du grand marché charmant !

Musicien.ne.s, comédien.ne.s, technicien.ne.s, toutes et tous en piste en scène, entremélimélomélés dans un processus singulier d’auto-éducation populaire décarboné décomplexé délibéré.

Bernard Lubat



Uzestival hivernal 2024 !

La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la production de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’au- dacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !

Expé’diction, expli’action export’action, imagin’action improvision à l’œuvre… Aucune ligne d’arrivée révélée -vendue/promise- à l’horizon. Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans re- proches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers état énergétique uz’esthétique.

« Transformation du souci en souci de la transformation » et non pas non plus (comme il se doit dans la musique à vendre « transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».

Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière.
« Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».

Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.

Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.
Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et chéquier », télé radio-actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres. Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes. Il faudrait, il faudra, il faut… !?

Rien n’est vrai, tout est vivant

Edouard Glissant

L’art et l’argent : l’art des gens, l’art de faire des gens… de l’argent.

La majorité, cette lâcheté du nombre

Victor Hugo